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 Le bien et le mal n'existent pas, il n'y a que le pouvoir, et ceux qui sont trop faibles pour l'obtenir..

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Cleopatra R. Patchwell
Cleopatra R. Patchwell



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MessageSujet: Le bien et le mal n'existent pas, il n'y a que le pouvoir, et ceux qui sont trop faibles pour l'obtenir.. Le bien et le mal n'existent pas, il n'y a que le pouvoir, et ceux qui sont trop faibles pour l'obtenir..  EmptyMer 1 Mai - 13:07


Cleopatra Ruby Patchwell.






J'ai poussé mon premier cri le 14 fevrier 1896 , ce qui me donne alors 117 années passées à Pythobel (mais ces naïfs petits humains pensent que j'ai  17ans. ). Je suis un Vampire et mon pouvoir est la télépathie . Quoi, ça ne vous dit rien ? Je vais vous expliquer un peu... Je peux lire dans les pensées des gens, autant des Moldus que des créatures surnaturelles. C'est un pouvoir Inoffensif sauf quand je m'en sers pendant un combat, ça devient défensif et manipulateur quand je m'en sers à leur inssue surtout les humains.., ce qui me convient bien . Je vis actuellement à Orten. On me confond souvent avec Miley Cyrus

Célibataire Amoureux En couple
Behind apparences.

Je dévalais la falaise à toute allure. Ma grande allure qui faisait que j’étais quasiment invisible à l’œil des humais. Agile et élancé mes jambes bougeaient tellement rapidement que j’avais l’impression d’être immobile alors que j’étais loin de l’être. J’avais l’air sûr de moi, et en même temps, c’était le cas. Mes jambes étaient longues et fines tout comme le reste de mon corps. C’est vrai que je n’avais pas à me plaindre, j’étais figée dans ce même corps jusqu’à la fin des temps mais il était plutôt bien. C’était le corps de mes 17 ans, j’étais grande, enfin, je mesurais dans les un mètre soixante-dix, j’étais mince et je trouvais mon harmonieuse silhouette parfaite. Il faut dire que je savais mettre mes courbes en valeur… J’étais souvent en mini-jupe qu’on aurait pu classer de « vulgaire », je m’étais des petits hauts fins, moins on était habillés, moins on en avait à enlever, n’est-ce pas ? J’avais quelques tatouages sur le corps mais ils n’étaient pas vraiment visibles, c’était ma façon à moi d’arriver à changer au fur et à mesure des décennies où je restais parfaitement la même et où je ne prenais pas une ride. Heureusement que j’étais belle parce que sinon, je n’aurais pas supporté de me regarder pendant cent ans avec le même visage. Mon visage… En parlant de lui… J’avais encore une fois un visage plutôt fin et ovale. Ma peau de porcelaine est mise en valeur par mes yeux bleus à en mourir. A en mourir…C’était la bonne expression. Mes lèvres sont riches et pulpeuses et je les surmonte souvent d’un rouge à lèvres rouge pétant alors que je ne maquille simplement mes yeux par du mascara pour étirer mes cils courts. Mes sourcils ont une forme légèrement courbée et mon nez est plutôt fin et même quelque peu aplatit sur le dessus. Mes oreilles sont en harmonie avec le reste de mon visage et son ornées de différents piercings, anneaux ou boucles, tout dépend ce que je mets. Mes cheveux, eux, sont blonds et courts, rasés sur les côtés et surmontés d’une espèce de mèche qui se bat en duel avec mon crâne et mon front. Mais sur mon front… On peut trouver une marque qui vient troubler ce visage parfait, ma cicatrice. Une cicatrice bien visible en plein milieu de la surface supérieur de mon front et que j’essaye de cacher du mieux que je le peux avec de la poudre ou du fond de teint, mais ce n’est pas toujours facile de trouver la teinte qui s’accorde avec ma peau blanche… Cette cicatrice, c’est tout ce qui me reste de cette année… Cette année où tout a basculé…
Mais je n’avais pas envie d’y repenser maintenant. Je ne suis pas une fille qui se prend la tête, je vis au jour le jour et même si cette phrase n’est pas vraiment vrai pour moi, je l’applique à la lettre : « La vie est courte alors, profitons-en ! ». Non, pour moi elle est longue et pourtant j’en profite… Je ne pourrais de toute façon pas me tuer avec les quantités astronomiques d’alcools et de drogues que j’ingurgite. Non, je ne peux pas me tuer mais au moins, j’en ressentais les effets, et c’était ça le principal. Je vais en cours parce que je peux rencontrer des humains et y mettre le grappin dessus quand j’en ai envie… Han ces pauvres petits humains qui n’ont rien de mieux à faire et qui ne se doutent de rien, ils sont tellement manipulables ! Manipuler… J’adore ça ! Je ne fais que ça, enfin, je vais en soirée, je bois, je fume, je ris, je m’amuse, je titille, je manipule, oui ça c’est ma vie, ou plutôt ma mort. Ah j’ai oublié un point que je ne citerais pas mais j’aime bien me dégourdir les jambes… Si vous voyez ce que je veux dire. Autre chose que j’adore ? Oh, eh bien jouer, le jeu c’est ce qui rend la vie beaucoup intéressante et ça permettait de ne pas trop s’ennuyer. Un défi vient devant moi, je le relève quoi qu’il puisse arriver, je me fou des conséquences tant que je fais ce que je veux. C’est vrai, oui, je suis une peste et quand je veux quelque chose, je l’ai. Point.


Ça fait parti de moi...

Je ne suis pas née à Pythobel. Oh non, moi j’étais une humaine avant. Et c’est à Huggles, le quartier des Moldus que vit le jour pour la première en 1896. Un premier cri, un premier bonheur pour mes parents, Jack et Lili qui sont morts de vieillesses…Enfin, un des deux surtout. L’autre est mort, c’est tout. J’eus une enfance plutôt heureuse et épanouie mais c’était à l’adolescence que les choses commençaient à se gâter. Quand je rentrais de l’école, je voyais bien que mon père n’était pas dans son état normal… Je savais qu’il ne ferait pas de mal à ma mère sinon.. Il me ne marchait plus droit, sa bouche donnait l’impression d’être remplie de pâte à modeler. Mais non, c’était juste qu’il était ivre. Il tapait ma mère, je le voyais prendre sa ceinture de cuir bon marché et la fouetter avec. Je savais que ma mère pleurait tous les soirs dans son  lit alors que le gros balourd, je l’entendais. Mais moi, je ne réagissais pas. Non, je faisais comme si de rien n’était et je faisais comme si je ne savais rien. Mais ce n’était pas le cas. Je savais tout. Mais je me renfermais sur moi-même, commençant peu à peu à sortir de plus en plus et à tomber dans le gouffre de l’alcool et la drogue. Je sortais beaucoup le soir et j’étais totalement indépendante, mes parents ne s’occupaient plus de moi et je ne savais que faire pour attirer leur attention. Le jour de mes 17 Ans fut le pire des journées de ma vie. Je m’en rappelle comme si c’était hier… Bha oui, mémoire de vampire oblige…
Je rentrais des cours exténuée et à bout de nerf. 14 février 1913, 17 heures. C’était le jour de mon anniversaire et normalement, j’aurais dû être heureuse mais non, de toute façon, je n’avais pas pu faire ce que je voulais la veille au soir à cause de ce fichu père qui avait encore décider de faire semblant de jouer le rôle qu’il aurait dû jouer bien avant. Ma mère subissait encore ses coups et ça m’énervait. Je montais directement dans ma chambre, m’allongeant sur le lit en bois qui faisait mal au dos. J’avais encore mes cheveux longs et frisés, d’un châtain resplendissant. Mon père voulait que je garde mes cheveux longs, j’aurais été une sorcière que de les couper. Moi, je m’en fichais qu’ils soient longs ou courts, de toute façon je n’ai jamais vraiment pris soin de moi, j’étais belle parce que je l’étais et voilà. J’entendais ma mère pleurer derrière le mur fin qui jouxtait le mien. Je savais qu’elle allait venir me voir dans pas longtemps pour me souhaiter mon anniversaire et m’offrir une tablette de chocolat comme chaque année. Ma famille n’a jamais été riche mais j’en vivais bien, je n’étais pas à plaindre quand même… Mais le soir, après le dîner, j’étais tellement énervée par mon père qui n’avait même dénié me souhaiter mon anniversaire que je n’allais pas en soirée comme j’aurais dû… Je montais devant le miroir qui était accroché au mur. Je pris un ciseau et coupait tout. Tous mes cheveux, les coupant court jusqu’à l’oreille. En signe de rébellion. Je sortais énervée toujours autant, passant devant l’homme de la maison et claquant la porte en bois en sortant. « Tu n’es pas assez bien pour que je te souhaite ton anniversaire. », avait-il dit d’un ton hautain à m’en dégouter les tympans. J’étais révoltée, je marchais vite et ans des ruelles abracadabrantes qui partaient dans tous les sens, il n’y avait pas un chat, personne, il faisait sombre et on n’y voyait rien, ah mais… Mais si en fait il y avait quelqu’un…Peut-être.
Mais vampire, ce n’était pas du tout le même refrain, je vivais en solitaire et je profitais à fond je décidais de ne plus me laisser marcher sur les pieds, je voyageais sur les continent de Terra et je me laissais au gré de mon esprit. Je ne m’attachais à personne, je n’allais pas refaire les erreurs que ma mère avait faites, elle. Non, je ne marcherais pas sur ces pas. Je ne revins plus jamais la voir, enfin si une fois, à son enterrement où j’étais présente en cachette, les autres personnes n’auraient pas voulu voir des années et des années après sa disparition la fille de Lili, Cleopatra, n’ayant pas grandit et ayant toujours le corps de ses 17 ans, ça aurait été louche…
 


When I received my Power...

[i]Je rentrais des cours exténuée et à bout de nerf. 14 février 1913, 17 heures. C’était le jour de mon anniversaire et normalement, j’aurais dû être heureuse mais non, de toute façon, je n’avais pas pu faire ce que je voulais la veille au soir à cause de ce fichu père qui avait encore décider de faire semblant de jouer le rôle qu’il aurait dû jouer bien avant. Ma mère subissait encore ses coups et ça m’énervait. Je montais directement dans ma chambre, m’allongeant sur le lit en bois qui faisait mal au dos. J’avais encore mes cheveux longs et frisés, d’un châtain resplendissant. Mon père voulait que je garde mes cheveux longs, j’aurais été une sorcière que de les couper. Moi, je m’en fichais qu’ils soient longs ou courts, de toute façon je n’ai jamais vraiment pris soin de moi, j’étais belle parce que je l’étais et voilà. J’entendais ma mère pleurer derrière le mur fin qui jouxtait le mien. Je savais qu’elle allait venir me voir dans pas longtemps pour me souhaiter mon anniversaire et m’offrir une tablette de chocolat comme chaque année. Ma famille n’a jamais été riche mais j’en vivais bien, je n’étais pas à plaindre quand même… Mais le soir, après le dîner, j’étais tellement énervée par mon père qui n’avait même dénié me souhaiter mon anniversaire que je n’allais pas en soirée comme j’aurais dû… Je montais devant le miroir qui était accroché au mur. Je pris un ciseau et coupait tout. Tous mes cheveux, les coupant court jusqu’à l’oreille. En signe de rébellion. Je sortais énervée toujours autant, passant devant l’homme de la maison et claquant la porte en bois en sortant. « Tu n’es pas assez bien pour que je te souhaite ton anniversaire. », avait-il dit d’un ton hautain à m’en dégouter les tympans. J’étais révoltée, je marchais vite et ans des ruelles abracadabrantes qui partaient dans tous les sens, il n’y avait pas un chat, personne, il faisait sombre et on n’y voyait rien, ah mais… Mais si en fait il y avait quelqu’un…Peut-être… Je ne sais pas je crois que…Que je venais de voir comme une ombre devant mes yeux. Tout de suite, je me figeais. J’étais dans une de ces ruelles désertes et effrayantes tellement elles étaient sombres. Je commençais à être effrayée. J’entendais des bruits, des crissements, je sentais du vent, mais je ne voyais rien. C’était obligé, quelqu’un jouait avec mes nerfs, mais qui ? Je ne voyais rien… Personne, il n’y avait personne, mais ça ne m’empêchait pas de demander tout de même… « Il y a quelqu’un… ? Pas un bruit. Pas une réponse. Mais au bout de quelques secondes, un crissement, et je le voyais. Une ombre statique, là au bout de la ruelle. Mais à peine l’avais-je remarquée que j’écarquillais les yeux parce qu’elle n’y était plus. Mais qu’est-ce que c’était cette histoire ? J’étais pourtant sûre d’avoir vue un Homme… Mais ce n’était pas possible, je rêvais sûrement. Je m’apprêtais à reprendre ma marche, je ne savais même plus pourquoi est-ce que je m’étais arrêtée…
Mais tout d’un coup une main vint de plaquer contre mes lèvres et je voulu crier mais le son était étouffer par sa paume bien trop serrer sur ma bouche que je ne pouvais déjà quasiment plus respirer. J’étais affolée, j’avais peur, mon cœur battait à mille à l’heure dans ma poitrine et j’étais totalement perdue mais qu’est-ce qu’il se passait ? Des crocs, oui j’avais senti des crocs aiguisés planter ma peau et la transpercer sans aucun problème… Mais qu’est-ce qui me tenait ainsi ? Un animal ? Non, impossible… L’homme avait une force surhumaine et c’était terrifiant… Il buvait…mon sang… Mon sang qui coulait dans mes veines, je me débattais et gesticulais dans tous les sens mais rien à faire, il était plus fort que moi et ne minais aucun signe de résistance que déjà…Mes forces étaient épuisées… Il avait bu tout mon sang et je m’étendais de tout mon long sur le sol quand il me laissait pour morte… Enfin, non, je n’étais pas morte, mais presque…
Je revenais à moi je ne sais combien de temps après, aucune idée mais tout ce que je savais, c’était que j’avais faim. Mais plus rien n’était ouvert à cette heure-ci… Ohlala, comme j’avais faim… Je me relevais et je ne rappelais de rien, je ne savais pas comment j’étais arrivée là, comment j’étais arrivée dans cette ruelle noire et vide. Je retournais sur le chemin de chez moi, et j’avais beau regarder autour de moi et constater qu’il n’y avait personne je ne comprenais pas pourquoi est-ce que j’entendais ces petites voix…Ces petites voix dans ma tête qui paraissaient si réelles, j’en reconnus même quelques-unes et je ne savais pas d’où elles venaient, c’était troublant… Je revenais chez moi allait dans devant le feu où se trouvait mon père, il était assis sur le fauteuil en face, seul, il n’y avait personne, ma mère dormait sans doutes déjà. Mais soudain je savais pourquoi j’avais faim. Je regardais mon père et me remémorait tout le mal qu’il avait pu faire à ma mère et comment il m’avait énervé. Sans réfléchir je bondissais sur lui et plantait mes crocs dans son cou comme l’inconnu l’avait fait un peu avant. Je le laissais pour mort dans la petite pièce. Je partais, je compris. J’étais un…vampire



When I open the window...


Tu as bien lu le règlement ? Ah oui ? Vraiment, alors prouves-le ! : OK Lou.
Comment est-ce que tu as connu le forum ? C'est moi qui l'ai créé o/
Et comment tu le trouves ? A mes yeux, plutôt pas mal o/
Tu veux un Parrain/une Marraine ? Ca devrait aller Wink
Un dernier mot pour la fin ♥️ ? o/ ♥️  



Dernière édition par Cleopatra R. Patchwell le Ven 30 Aoû - 17:57, édité 6 fois
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